Sacré milliard de milliards !
On aurait pu penser que le temps de cochon qui nous gratifie de longues ballades entre le salon et la chambre aurait pu mettre en léthargie les remarques désobligeantes de l'un vers l'autre. Il n'en est rien, hélas.
Pourquoi donc se laisser aller aux insultes pour un événement banal ?
Pourquoi croire que d'écrire
ce matin, il pleut encore
avant l'autre serait un scoop exclusif et non "relayable" alors que nous avons tous le nez coller contre la vitre embuée à nous morfondre en rêvant de soleil ?
Ne serait-il pas temps (de cochon) que cela s'arrête (de poisson) ?